Les bonnes questions à se poser.

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Les bonnes questions à se poser.

Les bonnes questions à se poser. 1200 800 BG Expertises
  1. l’Etat manque d’argent, alors pourquoi chercher à le priver d’une fiscalité copieuse des plus-values lors de la cession de l’entreprise ?
  2. Tout au long de votre vie vous payez l’impôts sur le revenu, la TVA, les Taxes foncières, les prélèvements sociaux, L’ISF… pourquoi vous arrêter en si bon et si généreux chemin en mettant en place une transmission optimisée en direction des enfants ?
  3. Pourquoi préparer et valoriser l’entreprise ? Pourquoi le repreneur ne vous croirait pas sur parole ! Toutes les entreprises ayant la même activité ne sont-elles pas les mêmes ?
  4. Le bilan est validé par l’administration fiscale ! Qu’est-ce que le repreneur va trouver à redire ?
  5. L’organigramme du personnel en place est-il efficace et va-t-il demeurer après la reprise ? le repreneur verra ça avec les syndicats !
  6. Si un repreneur nous dit qu’il a les fonds et qu’il est compétent pour reprendre l’entreprise pourquoi en douter ? Le mot mythomane est-il une vue de l’esprit ?
  7. Pour reprendre une entreprise spécialisée dans la chimie nucléaire, qui de mieux qu’un pâtissier ?… N’est-ce pas ? Pourquoi demander un CV ?
  8. Evaluer la valeur de l’entreprise, c’est très simple, il suffit de répondre à la question: comment vais-je vivre à la retraite ? De quoi se mêlent l’expert comptable et l’avocat !
  9. Une fois que j’ai dit que je vends mon entreprise et à quel prix, pourquoi le repreneur discuterait-il ? Et d’ailleurs y a-t-il quelque chose à discuter ?

Soyons sérieux ! et confiez ce travail à un vrai professionnel qui maitrise l’ensemble de ces problématiques !